Et si l’intelligence artificielle devenait la nouvelle voix de la musique mondiale ? Avec KOLUI Vibe, la jeune Congolaise Luisette KOBENA, à seulement 18 ans, bouscule les codes de la création musicale. Elle propulse l’IA dans le rôle d’un artiste 3.0, capable de composer et de chanter avec une finesse presque humaine. Des rythmes africains envoûtants aux mélodies universelles, cette prouesse technologique et artistique redéfinit l’avenir de la musique. Une révolution à découvrir et à écouter.
Luisette KOBENA est née le 7 avril 2006 à Pointe-Noire, avant de grandir à Brazzaville, la capitale politique du Congo. Fille d’un père conducteur et d’une mère entrepreneure, elle a été bercée dès son plus jeune âge par un profond sens de l’ambition et de la générosité. Son rêve d’enfance ? Construire un immense orphelinat capable d’offrir un refuge aux sans-abris tout en leur donnant la possibilité de poursuivre leurs études.
En 2024, le jeune prodige décroche son baccalauréat en sciences. Mais tout évolue, tout change. Les avancées technologiques qui ont transformé le monde ces dernières années ont également redéfini les ambitions de Luisette.
D’enfance demeure intact, elle s’est aussi engagée dans une nouvelle quête, tout aussi audacieuse : suivre les traces d’un génie congolais de l’informatique, fondateur du club d’éveil CJO (Conscience des Jeunes Optimistes) et de NETSKILLS EMPOWER, un centre spécialisé dans le développement des compétences numériques. « Il m’inspire énormément parce qu’il accomplit de grandes choses, tout en restant dans l’ombre. Malheureusement, je ne peux pas dévoiler son identité, car je n’en ai pas l’autorisation. Mais c’est lui mon mentor, » confie-t-elle avec admiration.
Dans les secrets du projet » KOLUI Vibe ».
Passionnée par les métiers du numérique, Luisette KOBENA s’est immergée dans une formation axée sur l’utilisation des intelligences artificielles. « J’ai appris à générer des images à partir de prompts, à réaliser des montages vidéo grâce aux IA, et surtout à créer des chansons personnalisées, » explique-t-elle avec fierté.
C’est d’ailleurs cet aspect de la création musicale qui a captivé toute son attention. « Je pense que c’est quelque chose d’unique, » confie Luisette, prête à approfondir ses compétences dans ce domaine. Avec une vision claire et audacieuse, elle pose les bases d’une révolution musicale où l’IA se fait artiste grâce
au projet KOLUI Vibe (tiré d’une contraction ingénieuse de son prénom et de son nom, Luisette KOBENA). À travers ce concept novateur, elle donne vie à un artiste virtuel hors pair, surnommé 3.0.
La particularité de cette intelligence artificielle ? Une voix capable de chanter dans plusieurs langues, y compris le Lingala, et une aisance impressionnante à s’adapter à tous les styles musicaux. De la rumba au ndombolo, en passant par le folklore ou encore le makossa, 3.0 fait vibrer sur les rythmes d’Afrique centrale tout en explorant des sonorités universelles. Un véritable chef-d’œuvre technologique qui sublime la diversité musicale.
3.0, un talent émergent de l’intelligence artificielle qui compte déjà une dizaine de singles à son actif.
À peine lancé, cet artiste virtuel suscite l’admiration du public, qui n’hésite pas à lui soumettre des idées et des envies musicales variées.
Comment ça fonctionne avec 3.0 ? « C’est très simple, » explique Louisette. « Le client me détaille ce qu’il souhaite entendre dans la chanson : le message, les émotions, les thèmes. Une fois la composition validée, 3.0 choisit le style musical et le type de voix pour l’interprétation. À partir de là, je n’ai plus qu’à collaborer avec mon assistant numérique pour donner vie au morceau. »
À l’aube d’une révolution musicale.
Pour l’instant, 3.0 reste une pépite discrète, encore absente des réseaux sociaux. Mais ce n’est qu’une question de temps avant que l’artiste virtuel ne fasse sensation.
En attendant, Luisette KOBENA prépare le lancement d’un site officiel dédié au projet KOLUI Vibe. Un espace où créativité et innovation seront mises en lumière, révélant au monde tout le potentiel de cette révolution musicale.
Par Yann pour
Le Mag de l’Asos.
