Elsa Fila, la « princesse sucrée », s’est produite en concert live à guichets fermés dans la soirée du 14 juin 2025, dans la salle polyvalente de l’hôtel Elaïs. Un pari réussi pour la protégée de la Villa 203 Interaction, qui a su rassembler un public éclectique et enthousiaste autour de son univers musical, entre énergie « Commando » et ambiance « Dingue Dingue ».
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« Je l’ai fait, nous l’avons fait»
Ce sont les premiers mots d’une Elsa Fila rayonnante, heureuse de renouer avec la grande scène — mieux, fière d’avoir embrasé la plus grande salle de l’hôtel Elaïs.
Une Elsa épanouie sur scène.
C’est en tenue militaire, façon Commando, qu’Elsa Fila a fait son entrée dans la salle, engagée et bien entourée. Une apparition remarquée qui a immédiatement donné le ton d’une soirée survoltée.
Portée par un public en fusion, l’artiste a su entretenir l’effervescence du début à la fin, jonglant habilement entre ses anciens titres — comme l’incontournable Oh Yes — et ses nouveautés, dont Arôme Magique, son dernier succès.
Moment fort : l’arrivée sur scène d’Aly Moulady, son producteur et mentor, pour interpréter en duo le single Vis à Vis. Le clou du spectacle ? Sans conteste Ba Boti, le Muntwash, qui a littéralement fait vibrer la salle.
Deux mois de préparation, sous la direction exigeante d’Aly.
Cet exploit, Elsa Fila le doit à un travail intense et minutieux, mené dans la plus grande discrétion au cœur de la Villa 203, son label de toujours.
À l’abri des projecteurs, l’artiste s’est consacrée corps et âme à la mise en scène, à la direction musicale et à la construction d’un show à la hauteur de ses ambitions.
Recrutement des musiciens, répétitions millimétrées, choix du répertoire, coaching vocal… rien n’a été laissé au hasard. Le résultat ? Une performance puissante, émotive et parfaitement maîtrisée, saluée par un public conquis et une salle pleine à craquer.
Un concert abouti, une salle comble, et une artiste au sommet de son art. Une sortie scénique qui en annonce d’autres, à en croire le staff de l’artiste.
Par Yann Orion pour
Le Mag de l’Asos.



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